
Auteure : Isabelle Damotte
Illustratrice : Malijo
Editeur : Voce Verso
Collection : Ginko (2 feuilles)
Pages : 24
Sortie le 4 octobre 2022.
Aujourd’hui la collection Ginko des éditions VoceVerso s’agrandit d’un nouveau titre. Cette collection pour lecteurs débutants continue de se renouveler en proposant des titres intelligents à la maquette soignée.
Grand-frère, jeune-homme au pair, homme à tout faire, Dark Mador est un peu tout ça à la fois. Du haut de ses vingt ans et demi, le regard dissimulé sous des lunettes noires, Dark Mador fait la cuisine, le ménage, bricole, jardine, raconte des histoires mais surtout, il s’occupe et joue avec les trois enfants de la famille. Quand vient la nuit, c’est épuisé qu’il gagne son lit. Et s’il lui arrive d’être en retard à la sortie de l’école, c’est sans doute qu’il avait un combat à mener au sabre laser, parce que c’est sûr, il est bien trop jeune pour mourir.
Isabelle Damotte signe une histoire drôle et légère, sensible et poétique qui aborde la force des liens qui se tissent entre les enfants et la personne qui prend soin d’eux tout en évoquant, l’air de rien, la crainte d’être confronté à la perte d’un être cher. Le texte s’enrichit gaiement des illustrations dynamiques aux couleurs vives et aux traits géométriques de Malijo.
Avec son tire référence à la science-fiction (Dark Vador) et jeu de mot sur les émotions (Dark m’adore), Dark Mador est un roman première lecture qui séduira toute la famille du fait de son histoire qui s’inscrit dans la réalité du quotidien de l’enfant entre tourbillon émotionnel et pouvoir de l’imaginaire.
Je remercie à nouveau les éditions VoceVerso pour l’envoi de ce titre et leur confiance renouvelée.



La vie est une belle aventure avec Dark Mador car Dark Mador, c’est le plus fort. Il n’a pas peur des loups, des fuites d’eau et des dimanches soirs. Bon, parfois, il lui arrive d’être un peu en retard… Et s’il avait perdu un combat, même avec son sabre laser ?
En général, ça m’amuse toujours les histoires référencées comme ça, c’est souvent truculent. Et j’aime assez le parti pris colorimétrique !
Merci pour la découverte 🙂