Auteur: Elisabeth Brami
Illustratrice:Carole Gourrat
Editeur: Nathan
Pages: 63
Quatrième de couverture:
« Je m’appelle Olivia et j’ai douze ans et demi. J’ai trouvé votre nom en fouillant dans les papiers de ma mère. Je sais, ce n’est pas bien, mais est-ce que c’est bien de cacher la vérité aux enfants, de garder des secrets? J’ai bien réfléchi: il faut absolument que je sache des choses sur mon père, et je crois que vous êtes la seule à pouvoir m’aider. »
Ce que j’en pense:
A douze ans et demi, Olivia a toujours vécu seule avec sa mère. Tentant de lever le voile sur le mystère qui entoure son père, elle entame une correspondance avec une vieille dame qu’elle pense être sa grand-mère paternelle. Mais cette dernière ne l’entend pas de cette oreille et va mettre du temps à s’ouvrir sur cette histoire du passé qui a laissé une blessure béante dans son coeur…
A un âge où l’on tente de se construire, Olivia cherche encore à comprendre qui elle est au travers de ses origines. Elisabeth Brami signe ici un très beau récit épistolaire plein d’émotions mettant en avant l’importance de la filiation et le droit de tout un chacun de connaître ses origines. Un droit qui est avant tout un besoin pour construire son identité et l’adulte que l’on deviendra.
Merci à Virginie de Book’inn sofa.
J’avais bien aimé ce livre ! (Oh, il faudrait que je le dépoussière lundi prochain 🙂 )