The call of the Wild
Auteur: Jack London
Illustrateur: M.A.C. Quarello
Traductrice: Annie-France Mistral
Editions: Sarbacane
Pages: 93
Buck est un chien de races mêlées qui vit des jours paisibles sur les terres du juge Miller sous le soleil californien. Jusqu’au soir où le jardinier le vend pour quelques dollars. Il est envoyé vers le nord où l’on recherche des chiens solides et à la fourrure épaisse pour tirer les traineaux des chercheurs d’or. Danc un monde où seule la loi du plus fort s’applique, Buck apprend alors très rapidement que pour survivre il lui faut s’adapter et laisser ses instincts les plus sauvages s’exprimer.
Jack London a ce talent narratif incroyable qui lui permet d’aborder l’escavage et l’oppression au travers d’un chien qui, passant de mains en mains, connait la cruauté et les privations. Le récit est court mais d’une grande fluidité, l’auteur nous entraîne là où il veut sans que nous ayons le temps de nous en appercevoir, nous faisant oublier que Buck n’est qu’un chien. Son intelligence lui permet de s’adapter à un environnement hostile et de survivre aux plus cruels des traitements. Il ne doit son salut qu’à sa volonté et à la rencontre fortuite d’un homme qui lui permettra de connaître l’amour avant qu’il ne réponde à l’appel de la forêt, marquant définitivement un retour à l’état sauvage et à la liberté.
L’appel de la forêt est un récit bouleversant et poignant dont la lecture ne peut laisser indifférent. Il faur par ailleurs souligner la qualité de l’édition qui a choisi un format album (grand album) pour illustrer ce grand classique de la main de Maurizio A.C. Quarello dont le trait est d’une précision incroyable. Il met clairement les mots en images et renforce le texte et l’intensité des émotions qu’il véhicule.
Plus d’images sur: Maurizio A.C. Quarello
Buck coule une vie paisible dans une souriante vallée de Californie. Mais une nuit funeste, tout bascule pour ce grand chien digne et civilisé, aux allures d’aristocrate: le voilà précipité en pleine ruée vers l’or dans les glaces du Klondike, où seule s’applique la loi de la matraque et des crocs. Pour survivre, il va devoir renouer avec des instincts depuis longtemps enfouis. Comment résister, alors, à l’appel de la forêt?
Ca me rappelle des souvenirs… je pense que je l’ai lu en ecole primaire, pour un devoir de francais 🙂
Je ne l’ai jamais lu, il faudrait, c’est un livre qui semble très beau =)
Il est dans ma PAL 🙂
Je pense que c’est un classique que je ne suis pas prête de lire. J’ai beaucoup de mal avec les histoires qui parlent des animaux. Idem avec les films et donc les adaptations de ce livre. 😦 Mais cette édition est superbe et sûrement très très bien pour les enfants.
c’est la première fois que je lis ce type de roman et il ne m’a pas laissé indifférente, il m’a touché au plus profond de mon être. L’effet est le même qu’avec « 12 ans d’esclavage », il touche le coeur avec force et les émotions ressenties sont identiques. Mais je peux comprendre (après les chevaux du chuchoteur, j’avais envie de découvrir autre chose et je dois dire que je ne m’attendais pas à ça).
Il faudra que je le lise un jour . *Marie*