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Cendrillon

cendrillonTitre vo: Cinderella

Réalisateur: Kenneth Branagh

Casting: Lily James, Cate Blanchett, Richard Madden, Stellan Skarsgard, Derak Jacobi, Helena Bonham Carter…

Genre: Conte, Famille

Format: 1h44

Date de sortie cinéma: 25 mars 2015

 

Synopsis (allociné):

Le père d’Ella, un marchand, s’est remarié après la mort tragique de la mère de la jeune fille. Pour l’amour de son père, Ella accueille à bras ouverts sa nouvelle belle-mère et les filles de celle-ci, Anastasie et Javotte. Mais lorsque le père d’Ella meurt à son tour, la jeune fille se retrouve à la merci de sa nouvelle famille, jalouse et cruelle. Les trois méchantes femmes font d’elle leur servante, et la surnomment avec mépris Cendrillon parce qu’elle est toujours couverte de cendres.

Ce que j’en pense:

Qui dit vacances dit cinéma avec les enfants. C’est donc pour voir Cendrillon que j’ai emmené mes filles dans les salles et le public ne s’y est pas trompé, il était à 99% féminin, que des fillettes de moins de douze ans accompagnées de leur maman ou mamie. Le pauvre et unique garçon présent dans la salle n’a fait que râler et on le comprend.

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Cendrillon réalisé par Kenneth Branagh pour les studios Disney n’apporte rien de nouveau à ce conte si ce n’est d’un point de vue esthétique (merci le numérique). Il met l’accent sur la bonté et la gentillesse qui sont des émotions pures et gratuites, ainsi que sur le fait d’être soit même et ne pas tenter de tricher sur celle que l’on est au fond de soit. La marâtre apparaît plus humaine, sa méchanceté n’étant que l’illustration de sa jalousie envers une jeune fille qui a tout pour elle: beauté, gentillesse et amour inconditionnel de son père. Par ailleurs elle représente aussi la condition de la femme d’âge moyen qui pour vivre a besoin de l’appuie d’un homme. Condition qui s’étend également aux jeunes filles qui passent des mains d’un père à celles d’un époux.

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La musique est en accord parfait avec le film, plein de paillettes et de fanfreluches (la robe de bal de Cendrillon est juste énorme), les acteurs, plus ou moins connus, ont tous été choisi judicieusement et le film s’en sort bien, même s’il n’est pas inoubliable. En tout cas les petites filles devraient toutes adorer, comme disait l’une des miennes « que c’est romantique » 😀

Mention spécial au court métrage de la Reine des Neiges diffusé avant le film. Il était bien sympa de retrouver les héros du film et l’histoire était bien mignonne et drôle.

Ma note: 6/10

cuisine

Veggie Burger

veggieburgerAuteurs: Cléa & Esterelle Payany

Photographie: Charlotte Brunet

Editeur: La Plage

Collection: Cuisine Couleur

Pages: 70

Date de sortie: janvier 2014

 

Quatrième de couverture:

Comment allier fast et good food? En confectionnant ces 13 burgers sans viande mais ultraprotéinés, à base de haricots rouges, de tofu, de pois chiches ou d’aubergine rôties…

Et avec ces recettes de buns maison, de coleslaw ou de mayonnaise végétale… vous obtenez un « kit à burgers », à assembler selon vos envies.

Ce que j’en pense:

Je ne suis pas très junk-food mais j’adore les galettes végétariennes, très riches en protéines qui allie différents légumes céréales, elles sont très intéressantes d’un point de vue santé mais aussi et surtout pour la richesse des saveurs.

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Dans Veggie Burger, Cléa et Esterelle Payany proposent de revisiter les burgers à la sauce végétarienne, de la confection des buns aux divers sauces en passant par les frites de légumes. Le tout dans un livre illustré par les photos de Charlotte Brunet qui mettent en appétit. Les recettes sont originales et savoureuses, véritable feu d’artifice pour les papilles gustatives.

J’ai un mari et un fils qui en redemandent régulièrement pour leur panier repas sous leur forme sandwiches, pour ma part je les aime sans le pain, accompagné d’une salade.

Cléa Cuisine

Esterkitchen