Auteur: James Dashner
Traducteur: Guillaume Fournier
Editeur: 12-21
Format ebook: 2038kb (414 pages)
Présentation éditeur:
Et si la vie était pire hors du labyrinthe?
Thomas en était sûr, la sortie du labyrinthe marquerait la fin de l’Épreuve. Mais à l’extérieur il découvre un monde ravagé. La terre est dépeuplée, brûlée par un climat ardent. Plus de gouvernement, plus d’ordre… et des hordes de gens infectés, en proie à une folie meurtrière, errent dans les villes en ruines. Au lieu de la liberté espérée, Thomas se trouve confronté à un nouveau défi démoniaque. Au coeur de cette terre brûlée, parviendra-t-il à trouver la paix… et un peu d’amour ?
Ce que j’en pense:
On retrouve Thomas et les quelques blocards encore vivants là où on les avait laissé à la fin du premier volume. Alors qu’ils récupèrent de leur première épreuve, il apparait rapidement que les choses ne sont pas terminées, et qu’ils vont devoir vivre la deuxième épreuve au travers d’une terre désertique où la chaleur accablante laisse parfois place à des tempêtes d’une violence inimaginable. Quand ils ne luttent pas contre les Fondues, personnes atteintes par la Braise, maladie incurable qui détruit le cerveau, ils doivent affronter leurs amis. Luttant pour leur survie, les blocards sont confrontés à la faim, la maladie et surtout la trahison.
Ce deuxième volume nous entraîne un peu plus loin dans cet univers apocalyptique sans jamais nous en révéler plus qu’il n’en faut, nous perdant un peu plus dans l’incompréhension de la situation. Thomas se souvient peu à peu de sa vie avant la labyrinthe au travers de rêves aussi incohérents qu’incompréhensibles. Le puzzle se met en place trop lentement et les réponses sont toujours aussi vagues.
Malgré ce sentiment d’incompréhension je dois dire que j’ai lu ce volume avec la même rigueur que le premier. Un véritable page turner et pourtant il ne se passe rien d’extraordinaire. J’ai ressenti une fois de plus ce malaise, cette pression qui m’habitait dans le labyrinthe, entre les couloirs plongés dans le noir, et la ville peu avenante dans laquelle se perdent les jeunes gens. Les Fondues sont affrayants, pire que des zombies par certains aspects…