Titre VO: Eleanor & Park

Auteur: Rainbow Rowell

Traductrice: Juliette Paquereau

Editeurs: Pocket Jeunesse

Format Ebook: 825 kb (334 pages)

Date de publication: juin 2014

Prix: 11€99

Présentation éditeur:

1986. Lorsqu’Eleanor, nouvelle au lycée, trop rousse, trop ronde, s’installe à côté de lui dans le bus scolaire, Park, garçon timide, l’ignore poliment. Pourtant, peu à peu, les deux lycéens se rapprochent, liés par un amour commun pour les comics et les Smiths… Et peu importe si tout le monde au lycée harcèle Eleanor et que sa vie chez elle est un véritable enfer : Park, pourtant si solitaire et secret, est prêt à tout pour la sortir de là.

Ce que j’en pense:

Park est l’ainé d’une famille de deux garçons dont les parents sont issus de deux cultures différentes. Alors que son frère a hérité de son père, américain, Park est le digne fils de sa mère, coréenne. Mal dans sa peau, plutôt réservé et timide, il tente de passer inapperçu et d’éviter les ennuis.

Eleanor  est l’ainée d’une famille de cinq enfants, famille brisée, qui vit dans la crainte d’un beau-père alcoolique et violent. Plutôt ronde, aux cheveux roux flamboyants, elle ne passe pas inaperçu avec son look excentrique. Fraîchement arrivée dans son nouveau lycée, elle devient la cible idéale de ses camarades.

Ils se rencontrent dans le bus scolaire où la lecture de comics et leur passion pour la musique va rapidement les rapprocher. Ce temps passé ensemble va leur permettre de décompresser, de trouver une âme soeur, une personne auprès de qui ils ne se sentent plus si différent…

Eleanor & Park est l’histoire d’une rencontre entre deux adolescents de seize ans que tout oppose, portée avec talent par une plume moderne, sobre et juste. Rainbow Rowell nous livre une très belle histoire d’amour réaliste et mature; il ne s’agit pas ici d’un petit flirt adolescent, mais du véritable amour, celui qui nous donne des ailes, qui nous pousse à nous dépasser, qui nous fait grandir.

J’ai été complètement séduite par ce roman touchant, aux personnages vrais, humains. Sans m’en rendre compte les pages ont défilé devant mes yeux et la fin est arrivée m’arrachant à deux personnages adorables avec qui j’aurais aimé pouvoir passer plus de temps.

Auteure: Jane Austen

Adaptation: Stacy King

Illustratrice: Po Tse

Editeurs: Udon Entertainment, Morpheus Publishing

Collection: Manga: Classic literature – Hard Cover

Pages: 369

Date de publicaton: 19 août 2014

Prix: 19€98

Quatrième de couverture:

Beloved by millions the world over, Pride and Prejudice is delightfully transformed in this bold new manga adaptation. All of the joy, humor, and romance of Jane Austen’s original story, perfectly illuminated by rich and sumptuous art, and faithfully adapted for a new generation of readers!

Ce que j’en pense:

Vous commencez à me connaitre, j’aime, que dise-je?, j’adore Orgueil et Préjugés de Jane Austen et j’aime lire d’autres auteurs qui écrivent sur ce thème. C’est comme ça que je me suis laissée tenter par une adaptation « manga » de l’un de mes romans favoris, fraîchement sortie!

Niveau graphique j’ai trouvé les personnages plutôt sympa, même si le design de Mr Darcy m’a bien déçu, je l’ai trouvé plutôt moche en fait, et puis il rougit en permanence ce qui n’est pas très réaliste quand on connait le personnage…

On sent que le public visé n’est pas le lecteur de Jane Austen, ni le fan, mais bien l’adolescente moyenne. Toutes les subtilités du roman ont été supprimé ou interprété annulant l’effet comique ou romantique… Les personnages n’ont pas conservé leur caractère, ainsi Elizabeth a perdu de son intelligence, elle apparait virulante ou pleurnicheuse, Mr Darcy devient un grand timide maladroit.

L’histoire avance très rapidement, malgré ses 369 pages ce roman graphique nous entraîne dans un enchainement des scènes tel que j’ai eu l’impression qu’il ne s’était écoulé que quinze jours entre la première et la dernière page. Heureusement que des informations de temps sont données et que les paysages évoluent aussi en fonction des saisons…

Maintenant je trouve que le concept est intéressant et permettra à bien des jeunes gens de mettre le pied dans l’univers de Jane Austen et peut-être leur curiosité les poussera à lire ses romans. Pour ma part je trouve le résultat satisfaisant mais pas transcendant.

Créateur: Alan Ball

Acteurs: Anna Paquin, Stephen Moyer, Sam Trammell, Ryan Kwanten, Alexander Skarsgärd…

Genre: Vampire, fantastique, romance

Date de diffusion (HBO): du 22 juin au 24 août 2014

Format: 10 x 50minutes

Synopsis:

Septième et dernière saison de la saga qui apporte une conclusion…

Ce que j’en pense:

J’attendais avec imaptience cette ultime saison et j’espérais qu’elle relèverait le niveau des dernières années très en dessous de ce qu’on avait eu la première année. Alors oui, j’ai préféré cette saison à d’autres, la cinquième par exemple était la pire pour moi, mais malgré tout je n’ai pas été transporté.

Finalement il se passe trop peu de choses, et hormis les premiers épisodes on ne peut pas dire que le côte vampire soit très bien exploité. Outre la maladie, HEP-V, le vampire est peu mis en avant, peu d’hémoglobine et peu de sensualité… Des idées sont amenées – l’histoire d’Eric et les yakusa – mais pas exploité et leur conclusion est trop rapide et mal amenée…

Les acteurs sont à la hauteur de leur rôle, toujours… mais la conclusion n’est pas idéale pour tous, ni même justifié pour certains. Du coup c’est avec une petite déception que j’ai regardé le final ce lundi!

Sept années de pas toujours très bons services, mais beaucoup de bons souvenirs pour cette série qui me manquera malgré tout. Une page se tourne et il faut reconnaitre que c’est préférable car les scénatistes ont de moins en moins d’idées intéressantes à exploiter.

Ma note: 6/10